Sexe dans la ville, façon garçon

Je suis une victime du passage à la trentaine. Ca effectivement été mon tour il y a deux semaines. Déjà !

Et je sens que je vis des changements intérieurs. Volontairement ou non, je ne sais pas. La nature se chargera bien elle-même des changements physiques qui m’attendent (je déteste déjà la balance de Dark pour m’avoir fait prendre beaucoup trop de poids en si peu de temps), alors je me garde un certain contrôle sur ce qui concerne mon intellectuel.

J’ai déjà cité dans de précédents articles que je passais beaucoup trop de temps en ligne, à entretenir des relations virtuelles futiles. Je le crois encore. D’ailleurs, je me rends compte que j’ai probablement encore passé une soirée à perdre mon temps sur mon portable, une fois de plus. N’empêche, j’ai décidé de mettre une croix sur certaines de ces relations. Parce qu’elles ne menaient à rien, parce qu’elles étaient vides de stimulations intellectuelles, parce que je me faisais carrément chier emmerder.

Je suis récemment célibataire, 2 mois. Si on peut considérer le tout récent. Vous ne serez sans doute pas surpris de savoir que j’ai vécu la post-break-up-accumulation-d’hormones. Un autre truc sur laquelle j’aimerais bien mettre un terme. Ca mène à quoi ?

30 ans, plus de temps pour la vraie vie avec du vrai monde.

Il y a aussi une liste de trucs que j’aimerais faire davantage. Lire. Ecouter une série de bout en bout. Savoir me coucher plus tôt. Etre en mesure d’initier une conversation avec un mignon inconnu rencontré peu importe l’endroit. Bouger. Bouger encore plus (pour contredire la foutue balance !). Peut-être voir si je n’ai pas trop perdu de mes talents artistiques. Ecrire. Faire du bénévolat (pas nouveau comme idée). M’impliquer pour sauver la planète.

30 ans, bien des changements.

Et bien des défis.